Le début de mon parcours de femme Nomade s’est déroulé au Venezuela. A l’époque, je vivais à Paris et ma vie était rythmée, comme beaucoup de parisien, par le « métro, boulot, dodo ». J’essayais de me faire un chemin dans un milieu qui n’était pas le mien, l’audiovisuel, et je me perdais progressivement dans la maladie et l’isolement. J’étais dans un état émotionnel, mental et physique plus que critique. Je ressemblais à une pauvre brindille sans force, remplie de...
Lorsque l’on vit à l’étranger, il est
nécessaire d’avoir un lieu de replis et de
ressourcement dans lequel on se sent bien.